C'est qui donc ça Olivier Ka ?

          Je suis né au Liban, à Beyrouth, en 1967. Arrivé en France à l’âge de 4 ans, j’ai longtemps vécu en région parisienne avant de m’envoler vers la province et de papillonner de région en région. J’ai découvert assez tôt le plaisir d’écrire, un peu avant 20 ans, et l’idée d’en faire mon métier s’est imposée immédiatement. Après un passage par la presse écrite (notamment dans Joystick, un magazine de jeux vidéo), j’ai abordé la fiction, d’abord à travers des nouvelles (la plupart publiées dans Psikopat, le magazine de BD créé par mon père, Carali) avant d’aborder de plus longs récits. Un premier roman pour adultes est sorti en 1997 aux édition Florent Massot (Je suis venu te dire que je suis mort), puis trois ans plus tard, un premier roman pour les enfants aux éditions Grasset (Le manteau du Père-Noël). Je suis passé ensuite par divers éditeurs jeunesses (Plon, Magnard, Lito, Milan, les Grandes Personnes…), tout en écrivant, en parallèle, des scénarios de bande dessinée. En 2006, avec Alfred, nous avons réalisé Pourquoi j’ai tué Pierre, qui a obtenu plusieurs prix, dont deux Essentiels au Festival d’Angoulême.

Depuis quelques années, je travaille régulièrement avec les éditions du Rouergue, qui me publient aussi bien des textes pour les enfants (les Chroniques d’Hurluberland, Journal d’un chien de campagne) que des romans pour grands ados (Janis est folle, Demi-frère).

C’est en voyage que j’ai découvert le plaisir du dessin, et plus particulièrement celui du croquis. C’est ainsi que j’ai publié un premier récit de voyage illustré en 2018 aux éditions Elytis (Los in Laos), puis un second, « Beyrouth (Liban) », que vous pouvez vous procurer sur ce site.

Et pour apporter un autre éclairage à tout cela, depuis une vingtaine d’années, je me produis sur scène, seul ou accompagné, pour des lectures illustrées (voir la rubrique spectacles). Ça me permet de sortir un peu de chez moi et de me dérouiller les jambes, il paraît que c’est bon pour la santé.