On dit d’une chose qu’elle est incongrue quand elle n’est
Ici, je vous propose quelques histoires à suivre, des petites pastilles à vous mettre sous les yeux, qui deviendront peut-être des livres, ou non. Ce sont parfois des projets en chantier, ou bien des envies éphémères, certaines resteront en ligne et d’autres disparaitront…
Vous pouvez aussi, le temps d’une petite pause, vous laisser embarquer dans quelques promenades filmées, des documentaires vidéos maison ou des réflexions caméra au poing.
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On dit d’une chose qu’elle est incongrue quand elle n’est
Dans le dernier Fluide Glacial, celui de novembre, vous
« Journal d’un chien de Campagne« , mon avant-avant dernier livre
En librairie depuis le 5 octobre, « Demi-frère » un roman
C’est à l’âge de 6 ans que Fabienne Clamichon-Lamolette monta à vélo pour la première fois. Ce jour-là, elle se prit un pigeon en pleine
Dans les rues vietnamiennes, le trafic est dense, écrasant, mais, en cherchant bien, l'on peut trouver quelques endroits préservés...
Marie-Josette Glopinouille était une piètre chanteuse. Elle avait eu beau prendre des cours durant son enfance, s’entraîner pendant des années, son timbre restait désagréable. Selon
Au Vietnam, comme dans bon nombre de pays d’Asie du sud est, l’activité majeure consiste à préparer à manger. On s’y attèle dès les premières
Il y a longtemps de cela, dans une campagne reculée, un médecin ambulant se voit dans l’obligation de soigner une mystérieuse malade… Une nouvelle que
La campagne recèle parfois d’étranges surprises. Pas besoin d’électricité pour les mettre en lumière…
Je vis à la campagne, au cœur des vallons et au milieu des bois. Lors de mes errances régulières, il m’arrive parfois de dessiner les
Alfred est illustrateur et auteur de bande dessinée. Autodidacte, il commence à publier aux éditions Delcourt en 1997. En 2007, notre album « Pourquoi j’ai tué
Qu’y a-t-il derrière les portes vietnamiennes ? Dans quel monde donnent-elles ? Franchir une porte, au Vietnam, c’est accéder à un univers inédit. Changement de
Où que l’on entre, ils sont là, en attente. La tête tournée vers nous, comme d’étranges oiseaux de métal au visage grillagé. Des prédateurs à
Le pays invite à la nonchalance. Cela est dû à la chaleur en saison sèche, sans doute, à la lumière aussi, si douce. C’est pourquoi,
La voisine de chambre de Raymonde Portacruche, régulièrement, échangeait le dentier de cette dernière avec l’un des nombreux pensionnaires de l’Ehpad « La Verveine ».
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